Je me lance sur le blog pour rédiger un article sur les "gros" travaux que je suis en train de réaliser. Je vais vous faire suivre les différentes étapes de ce dur labeur : mon parcours initiatique de maçon!
Pour commencer il faut vous raconter pourquoi nous faisons des travaux. Cet hiver, alors que la neige tombait ardemment sur les montagnes du haut-forez, E. prend la voiture, recule et ... PAF! se prend le muret devant la maison ensevelie sous la neige. Mais plus de peur que de mal, la voiture n'a que quelques égratignures au niveau du pare-choc et la conductrice est indemne. Mais en sortant, que voit-elle? Le muret qui gît par terre.
Depuis cet accident, nous nous sommes interrogés sur la solidité de notre muret. Et après une rapide expertise, (menée de paire avec notre voisin) nous avons conclu qu'il fallait le refaire. De toutes façons le béton ressemblait à du sable et nous arrivions même à défaire certains moellons rien qu'en soufflant dessus.
Donc voici à quoi ressemblait la maison avec le muret (l'arbre en moins, je l'ai enlevé l'année dernière, il me gênait!)
La première étape de mon parcours initiatique a donc été la suivante : Comment faut-il faire?
Alors pleins de mots sont arrivés à mon esprit : truelle, parpaings, ciment, fondation, gravillon sableux, chainage...
Des amis m'ont expliqué comment je devais procéder et m'ont proposé leur aide que j'ai acceptée bien sûr (heureusement pour le mur!)
Et me
voilà en train de démolir le muret en tachant de récupérer le plus de parpaings intacts afin de les réutiliser.
Un burin dans une main et une massette dans l'autre : attention aux doigts!
Le souci du détail --> bien ranger les parpaings réutilisables
--> les autres côtés "poubelle"
la suite bientôt, G.
Pour commencer il faut vous raconter pourquoi nous faisons des travaux. Cet hiver, alors que la neige tombait ardemment sur les montagnes du haut-forez, E. prend la voiture, recule et ... PAF! se prend le muret devant la maison ensevelie sous la neige. Mais plus de peur que de mal, la voiture n'a que quelques égratignures au niveau du pare-choc et la conductrice est indemne. Mais en sortant, que voit-elle? Le muret qui gît par terre.
Depuis cet accident, nous nous sommes interrogés sur la solidité de notre muret. Et après une rapide expertise, (menée de paire avec notre voisin) nous avons conclu qu'il fallait le refaire. De toutes façons le béton ressemblait à du sable et nous arrivions même à défaire certains moellons rien qu'en soufflant dessus.
Donc voici à quoi ressemblait la maison avec le muret (l'arbre en moins, je l'ai enlevé l'année dernière, il me gênait!)
La première étape de mon parcours initiatique a donc été la suivante : Comment faut-il faire?
Alors pleins de mots sont arrivés à mon esprit : truelle, parpaings, ciment, fondation, gravillon sableux, chainage...
Des amis m'ont expliqué comment je devais procéder et m'ont proposé leur aide que j'ai acceptée bien sûr (heureusement pour le mur!)
Et me
voilà en train de démolir le muret en tachant de récupérer le plus de parpaings intacts afin de les réutiliser.Un burin dans une main et une massette dans l'autre : attention aux doigts!
Le souci du détail --> bien ranger les parpaings réutilisables
--> les autres côtés "poubelle"
la suite bientôt, G.